Khorne [Terminé]

Nom : //
Prénom : Khorne
Age : 250 ans
Race : Démon
Élément : Ténèbres
Métier : Dirigeant du Pandémonium

Il s'arrange toujours pour pouvoir combattre dans des endroits sombres, là où ses pouvoirs sont à leurs paroxysmes. Il combat beaucoup au corps à corps en utilisant les ombres comme des extensions de lui même et la puissance de ces sorts sont proportionnelles à l'obscurité ambiante. Il joue beaucoup avec ses « proies » se déplaçant dans les ombres comme à travers autant de portails capable de le soigner. Il est capable de devenir ombre lui-même et joue de suggestion susurrées au creux d'oreilles sensibles et seule la présence de deux rubis brillant dans le noir trahissent sa présence.
Arme utilisée : Un peu tout ce qu'il trouve, la plupart du temps il a, avec lui, une hache qu'il accroche dans son dos et une épée à une main à sa ceinture. Mais il préfère utiliser la manipulation des ombres et des ténèbres bien plus malsaine et effrayante pour ses victimes.

Khorne est très ambivalent, il peut être tantôt froid, calme et calculateur, tantôt violent, expansif et impulsif. La pression du monde des ombres et les tortures subits étant plus jeunes l'ont rendu cinglé, il est très agressif, un peu hautain et s'en prendra à quiconque mettra en doute ses idées ou motivations. Il aime le pouvoir, énormément mais il aime encore plus la mort et lire la peur dans les yeux de ses victimes, peut-être est ce dut à son absence de vie dans le regard vaporeux des ombres qui occupent ses orbites. Il passe une grande partie de son temps seul dans le noir à jouer dans les ombres et voyager au travers de celle-ci quand il ne joue pas au monstre sadique.
Malgré çà il reste un être d'une grande intelligence, quand il juge une personne suffisamment intéressante il aimera discuter avec elle dans de belles joutes verbales et se plaira à briser ses argument dut il avoir tort, il saura aussi s'allier à d'autres démons ou non si ceux-ci lui apportent un intérêt. Il tiendra toujours une dette ou une parole, mais n'y verra aucun sympathie, et n'hésitera pas à tuer son dépositaire une fois la dette remboursée.

Comme bien des démons il est un peu plus grand que les humains, mais ce qui surprend c'est qu'il ressemble hors armure beaucoup à un humain, on ne sait pas pourquoi. Il a la morphologie d'un humain, sa peau est clair, un peu trop blanchâtre mais semblable aux humains, il a des cheveux noirs et mi-longs, un musculature assez massive mais rien d'extravagant. Si ce n'est ses deux canines un peu proéminentes et ses yeux qui semble être de vapeur d'ombre, il pourrait passer humain. Ses yeux d'ailleurs sont assez bizarre, il semblent fait d'ombres lorsqu'il a son corps, mais lorsqu'il deviens ombre, ses yeux deviennent d'un rouge brillant comme deux rubis dans la nuit.

Du coup pour protéger ce corps qui semble bien frêle par rapport aux autres démons, (même s'il peux rivaliser avec la plupart en corps à corps) il porte une armure d'écaille de dragon noirs, une sorte tissus qui recouvrent son corps entièrement des pieds à la base de la tête. Cette armure est recouverte de plaques en acier à l'os de dragon aux jointures et à la taille, et sa tête est surmontée d'un heaume en plaque ne laissant paraître que la matière vaporeuse de ses yeux, surmonté de dents de dragon géant.


Je ne me souviens guère d'où je viens, je suis un démon après tout. Les premières années de ma vie de démons sont trop loin et trop sombres pour que je m'en souvienne. Je suis l'enfant du Pandémonium, le fils de la nuit et des ténèbres. Je n'ai pas de parents, je ne sais pas ce que c'est. Ma solitude voilà ce dont je me souviens, rien d'autre, caché dans les ombres je volais pour vivre. Je n'aimais pas la lumière et c'en était réciproque au début. Plus le temps passait, plus je ressentais la vie et la mort que l'obscurité dégageait, je la sentais s'imprégner en moi, glisser sur ma peau, dans mes veines et dans mon âme. J'avais peur, les autres démon ne m'aimaient pas, j'avais l'air trop, humain, bâtard, demi-sang ils disaient et pourtant jamais il n'en fut le cas. Je suis un vrai démon, pur, de sang, et le fait qu'en ce temps mes yeux soient deux rubis dans la nuit et ma peau d'un sombre gris était la seule qui faisait que j'étais encore en vie, du moins ce que j'en croyais. Plus les ombres s'imprégnaient en moi, plus ma peau semblait oublier la couleur du jour, perdant années après années la pigmentation démoniaque qui fut la sienne pour devenir de plus en plus claire, jusqu'à ce qu'elle le soit tellement qu'elle semblait presque humaine. Mon lien avec les ombres évoluait lui aussi, je devais encore être tout jeune la première fois que j'en ai pris le contrôle, je cherchais à manger, j'étais caché dans l'ombre il était massif monstrueux et je voyais dans la nuit cette viande à sa ceinture, je la voulais tellement, je tendis le bras, il sembla se lier à l'ombre en devenant une en quelques sortes, et là je vis ce serpent d'une noirceur parfaite s'enrouler autour de la proie que je voulais, et me la ramener. Bien sur, la première fois la discrétion n'était pas encore de mise, et le colosse remarqua vite l'enfant d'une vingtaine d'années, il m'attrapa par la gorge et je sentit pour la première fois la froideur douloureuse de l'acier qui me brûla les entrailles, je me sentit voler et au moment où le mur aurait dut me heurter violemment je me sentis absorbé, imprégné par une nuit intégrale, comme un plongeon dans une piscine de néant pur. Mes yeux me firent mal je sentit la vie les quitter et la puissance me gagner, et, lorsque j'en sortis je me trouvais sous une autre forme, un corps plus adulte, plus grand, plus puissant, ma blessure avait disparue, ainsi que le lumière de feu de mes yeux ou l'on ne voyait plus maintenant qu'une nuage d'ombres vaporeuses. Un craquement sonore se fit entendre alors que les os du colosse se brisèrent. Un claquement de mains, je me retournais et vis ce démon bien plus puissant que ceux que j'avais vu ici, un vrai, un guerrier, il rit en m'observant et s'adressa finalement à moi :

Tu m'as bien fait rire, petit. Je veux quelqu'un comme toi, je te laisse choisir, meurs tout de suite, ou vis dans une lente agonie bien pire que la mort à mon service.

Je trouvais ce jour là qu'il parlait beaucoup, je ne savais pas si j'aurais pu le terrasser ce jour-là, mais je me décidais à le suivre pour sortir de ce monde de vermine affamée qui était le mien, je n'aurais jamais pensé qu'il puisse influencer ma vie et ce que je suis devenu à ce point là. Durant cinquante années qui me semblèrent des millénaires je fus son larbin, non pas j'aimais cela, ou que je le haïssais mais je m'en servais j'apprenais, je suivais et je rencontrais, tout ce qui me fus utile je l'assimilais, des créatures que je rencontrais aux violences que j'encaissais en passant par les techniques qu'il utilisait sur moi ou non, j'assimilais. Quand il se reposait, ou quand il buvait trop, je m'exilais dans ces ombres devenues non plus mes alliées mais mes armes, mes outils pour sculpter mon avenir et je m’entraînais, réutilisant tout ce que j'avais vu, de la plus simple technique de combat à la plus vile technique de manipulation, sujet que je maîtrisais au fil du temps de mieux en mieux. Mes techniques s'affinaient et mon corps s’endurcissait au fil des coups qu'il me donnait pour s’entraîner se servant de moi comme d'un sac de frappe vivant, sachant pertinemment que lors de mon voyage dans les ténèbres j'en reviendrais guéris. Il m’enseigna quelques techniques qu'il savait que les ombres me permettraient d'améliorer bien plus et qui lui seraient fortes utiles comme à utiliser des sortes de portails pour voyager, certes il utilisait les flammes et était extrêmement puissant et j'eus du mal à adapter cela aux ombres, mais une fois réussi, je pouvais voyager d'une zone de grande obscurité à l'autre sans problème, transportant même avec moi d'autres gens, ce qui lui permettait de voyager plus simplement sans se fatiguer.
Je me souviens encore de la première fois qu'il m'a conduit dans le royaume des hommes, je restais dans les ombres mouvantes des nuits sanglantes alors que ce monstre sadique et puissant, ce bourrin sanguinaire prenait plaisir à dépecer vifs, hommes, femmes et enfants que le malheur avait conduit par cette route. Lorsque ceux ci réussissaient toute fois à fuir, je devais les rattraper et les ramener. A travers les ombres je les rejoignaient rapidement, je découvrais la fragilité de leurs esprits quand je murmurais à leurs oreilles, je voyais leurs yeux globuleux de veaux paniqués tendus à l'extrême alors que je faisait naître la folie dans ces esprits. Je me rendis compte au fil du temps de la puissance de cette maîtrise de l'obscurité sur mon corps et sur l'esprit des autres. Je sentais que cela jouer mon propre esprit lorsque je devenais moi-même une ombre me rendant chaque fois plus affamé de cette peur que je faisais naître en eux et plus sadique dans ma façon de jouer avec leur corps et leurs esprits, et pourtant.
Je me souviens encore du jour où il eu peur, du jour ou nous vîmes ce démon. Cela ne faisait pas longtemps que j'étais avec lui, et pourtant çà laissa une marque à jamais dans ma façon d'aborder le monde. Nous le croisâmes seulement et mon maître frissonna tellement que je ne pus retenir le même réflexe, un démon à l'armure d'une couleur certes peu commune qui mais qui faisait naître en mon maître l'effroi, quand je lui demanda de qui il s'agissait il me dit simplement : « Une légende, un mythe. ». Peu de temps après cela il m'agrippa par les épaules me regardant dans les yeux avec une expression de folie, et me dit : « Surtout, ne trahi jamais ta parole, ne renie jamais un serment, n’oublie jamais ton honneur ! »Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulu dire et je ne su jamais pourquoi il m'a dit çà. Mais il réussi en ancrer ceci si fort dans mon esprit que je pu jamais y déroger.

Bien des années plus tard, alors que je n'avais plus jamais revu ce démon, j'avais découvert grâce à lui une faille en mon maître et je comptais bien l'exploiter.
Le temps passait et je le conduisais maintenant de plus en plus dans la nuit, m’immisçant jour après jours, nuit après nuit au fond de son esprit, jouant de ses peurs et appuyant sur ses faiblesses les plus enfouis. Certes il était puissant, mais son esprit se révéla au fil du temps de plus en plus faible face au mien, durant les années j'avais accepté d'être le loufiat de ce monstre que maintenant je conduisais de plus en plus en mon contrôle, jusqu'à ce que le maître et l'esclave échange finalement et discrètement les rôles. Je le poussa à affronter petit à petit les démons les plus puissants pour rendre mon serviteur plus fort et lorsque je l'en jugea capable je l'envoya affronter le roi démoniaque. Bien sur qu'il se fit massacrer, sa puissance à son paroxysme ne fit pas le poids face au monstre surpuissant qui contrôlait le pandémonium, mais mon but n'avait jamais été de le conduire sur le trône. L'affrontement fut extrêmement violent et lorsque mon « champion » tomba finalement inerte sous la puissance du régent, ce fut avec un sourire malsain que je me dressais face au monarque blessé et que le poussant dans l'ombre d'une pièce close, je fis mon œuvre. J'entends encore maintenant, un siècle et demi après les cris de terreur et de douleur lancinants de ce monarque déchus quand les ombres prirent son dernier souffle, se transformant en une clameur d'un groupe de démon qui s'agenouillaient devant le nouveau souverain du pandémonium, qui s'agenouillaient, devant moi.

J'ai appris, rapidement, que si chez les humains le respect donnait le pouvoir, chez nous, au pandémonium, le pouvoir naissait de la crainte. J'avais appris à être puissant, j'ai continué à l'être encore plus. La violence, la fureur et le meurtre, voilà qui faisait naître la peur. Le début de mon règne comme tout régent sadique, violent et dictateur fut marqué par le sang, la souffrance et la mort, faisant mourir dans l’œuf tout idée de rébellion ou de trahison. Mais rapidement je me rendis compte qu'il était impossible de tout gérer, je préférais les laisser faire, ne donner que quelques limites grossières et m'imposer simplement un rôle de juge et de chef que lorsque la situation l'exigeait. Les années passèrent simplement, sans trop de problèmes, la seule règle vraiment indispensable que j'imposais ? Ne jamais s'attaquer aux royaumes des hommes et des elfes, pour lesquels naissait avec le temps un plan que je mettais en place. Un demi-siècle à préparer ce plan, et il fallu que ces chiens sournois, ces idiots récalcitrants, vermines purulentes, ces crasseuses et ineptes verrues incarnées ont transgressé l'une de mes règles les plus importantes, réduisant à néant cinquante années de travail, et ces abrutis ont trouvés le moyen de se faire massacrer. Je découvris cependant rapidement que celui qui leur avait permis de traverser et d'intégrer le château humain n'avait jamais pris part à la bataille, il était resté tranquillement caché au sein de ma propre forteresse. Il n'aura trouver la mort qu'au fil de quinze années de tortures, lorsque je fus las de jouer avec cette carcasse dégoulinante. Cela causa un calme certains qui me reposa tranquillement et m'assura dans ma position. Ça me rassura un peu trop d'ailleurs, suffisamment pour que je ne vois pas ce qui m'arriva quelques temps plus tard. Il y a quelques mois tout au plus un ou deux ans, un demi-sang vint face à moi, je savais que ce jour viendrait, mais je n'aurais jamais cru que ce soit un hybride qui vienne m'affronter, j'acceptais son courage pour un semi-démon sans réels pouvoirs de venir me provoquer. Il voulait combattre, je me mis à son niveau, une grande hache au mur, jouet de mon prédécesseur, en main mon armure cachant mon visage. Je jouais de lui peut-être trop sûr de moi, et lorsqu'il m'entailla l'abdomen je compris que je devais, « par respect pour lui » relâcher toute ma puissance. Je fis signe aux gardes d’éteindre toutes les lumières de la salle ou nous nous trouvions. Quant ils vinrent le chercher, pour l'achever, je m'y opposa, je le fis envoyer auprès de chercheurs pour qu'ils l'étudient et lorsqu'ils auraient finis, qu'on le jette aux arènes. Je ne relâche plus ma vigilance dorénavant, et si je laisse la liberté d'action aux créatures de ce royaume, le premier qui essayera de me planter un couteau dans le dos, finira pourrissant dans les limbes obscures du néant...

Faut que j'aille lire le RP et qu'on voit pour l'histoire moi xD

En attendant, ceci est plutôt un très bon début, je n'ai rien à redire =D (A part quelques tites fautes par-ci par là, mais rien de bien grave. Mettons ça sur le coup de l'heure tardive x) )

Par contre, tout ce qui est image et tout, ce n'est pas vraiment nécessaire dans cette présentation là, je te conseille plutôt d'éviter le superflus dans cette fiche. En revanche, quand tu seras validé, tu pourras te faire un profil, et là, y mettre toute la déco que tu veux =3

'Fin bon après, c'pas très grave, tu fais comme tu veux. Dans tous les cas, tu démarre plus que très bien ! ^.^

En effet ^^

Bienvenue en tout cas =)

oh? les images j'aime bien mettre dans ma fiche^^, j'en prendrais d'autres pour le profil^^.
En tout cas merci de vos bienvenu à vous deux^^

pis ah oui, fiche fini^^

Bon bah rien à redire, du début à la fin, donc je valide !

Bon RP Vot' Majesté, mais détruisez pas tout quand même ! *PAN*

Maintenant, tu peux aller faire ton profil, et te choisir un rang ici : http://mythra.anciennestar.com/t12-rangs
Dans tous les cas vu ton grade, il y aura la mention (Roi des Démons) dans ce dernier. Tu peux soit la reprendre en tant que rang principal, soit en choisir un autre, mais cette mention apparaitra entre parenthèse =) (Sauf si tu utilise d'autres mots qui veulent dire la même chose x) )

Valà valoù !

Oh, enfin =D

Bon RP ^^